Blague à part, si la réglementation pose problème, pourquoi le lobby bancaire ne demande pas à la changer?
Il y a un énorme préjugé sur le
pouvoir des banques, "le lobby bancaire", les financiers et comme de bien entendu les relents antisémites qui ne sont pas bien loin derrière.
Mais dans les faits, elles subissent le
vrai pouvoir exorbitant de certaines institutions étatiques, telle la SEC ou le Comité de Bâle qui a mis la crise de 2008 sur le dos des banques.
Les banques ont souvent exprimé leur mécontentement face à certaines de ces réglementations, qu'elles jugent trop contraignantes ou coûteuses. Parfois, les banques ou leurs associations représentatives font pression pour obtenir des modifications ou des allègements réglementaires, particulièrement en période de crise économique ou pour des secteurs spécifiques de l'industrie.
Cependant, en général, les banques finissent par se conformer à ces réglementations, car les régulateurs financiers sont souvent inflexibles sur ces règles.
Il est important de noter que la manière dont une banque exprime ses critiques peut avoir des conséquences indirectes. Par exemple :
- Réputation : Critiquer les régulateurs ou les réglementations de manière trop agressive peut nuire à la réputation d'une banque auprès du public, des investisseurs ou des clients. Cela peut également affecter la perception de la banque par les régulateurs eux-mêmes.
- Relations avec les régulateurs : Bien que les régulateurs soient généralement ouverts au dialogue avec les banques, une attitude trop conflictuelle pourrait compliquer les relations. Les régulateurs peuvent devenir plus vigilants ou stricts dans leurs inspections ou contrôles.
- Pression des pairs et des marchés : Les autres acteurs du secteur financier ou les analystes de marché peuvent percevoir les critiques excessives comme un signe de désaccord avec les meilleures pratiques ou les standards de l'industrie, ce qui peut affecter la valeur des actions de la banque ou ses relations avec d'autres institutions financières.
Se sont les élus qu'il faut blâmer.
Donc ceux qui votent pour eux, c'est-à-dire les français.
Tu n'as pas tort mais je crois bien qu'il n'existe aucun politique, élu ou non, dans le monde qui défende les consommateurs. Contrôler les banques facilite grandement le contrôle des populations.
C'est la raison pour laquelle je regarde avec intérêt les déclarations des candidats à la présidentielle américaine concernant les cryptos.
Les discours de Trump à ce sujet sont hallucinants. Son retournement de veste est spectaculaire. C'est une excellente chose même si manifestement il se sent contraint compte tenu du pourcentage supposé d'américains qui ont investis dans le Bitcoin notamment.
Je suis quasiment sûr que les Démocrates vont également retourner leur veste à ce sujet même si je suis persuadé qu'ils ne respecteront pas leur promesses.
Edit modo : fusion double post
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