Concernant les accusations faites plus haut, voici la réponse officielle de l'équipe de Jinbi:
There are several malicious, anonymous blogs that are critical of Jinbi Token. The reason why these blogs are anonymous is that they contain malicious falsehoods, claiming that Lars Steffensen is a convicted criminal, which is not the case. If the author’s details were made public, they would themselves be pursued by lawyers, the police and the CPS in the UK. Several blogs have been removed by Google in the UK but continue to be live in other territories.
Joe Crawley used to work at eCommodities PLC where Lars Steffensen is an advisor. The malicious blogs are the work of a disgruntled former investor of a hedge fund run by the Ebullio Group. This business was successful for several years before it closed down, finally running at a loss. This investor felt aggrieved and took their case to financial institutions, none of which could find the company or its directors at fault.
Rather than move on – this incident occurred nine years ago – the malicious blogger has tried their best to destroy Lars and anyone associated with his past in any way. The financial industry is highly regulated and of course, if these malicious allegations were true, Lars would be unable to work as he does in the UK. Both Lars Steffensen and Joe Crawley have clean regulatory records and are regulated by both the Financial Conduct Authority in the United Kingdom and the National Futures Association in the United States of America.
Lars Steffensen has no involvement whatsoever with Jinbi Token. Joe Crawley, the co-founder of Jinbi Token knows him, and Joe worked for eCommodities PLC but resigned the role in April 2018. He also worked for Ebullio Group.
It is very disappointing for Joe Crawley and the team at Jinbi Token to have to deal with these ridiculous allegations. That said, to put it into context, the whole area of hedge funds is highly emotive and the industry is known for its strong personalities and mercurial changes in fortune experienced by its major players.
Pour les non-anglophones, la personne qui est derrière le site à charge contre Jinbi est un ancien investisseur du fond d'investissement Ebullio, géré par Lars Steffensen (Joe Crawley faisait aussi parti de l'équipe, mais Lars était le directeur du fond). Le fond a fait faillite il y a quelques années; l'aigreur de la personne qui a fait le site Google peut s'expliquer par une grosse somme investi dans Ebullio; on assiste donc à des querelles personnelles, entre anciens associés qui n'étaient pas sur la même longueur d'ondes en termes d'investissement, ce qui s'est soldé par un échec (et une perte massive d'argent).
Parenthèse: Il y a bien un lien entre Lars Steffensen et Joe Crawley chez Ebullio, mais aucun chez Jinbi: ne pas confondre avec un des advisors qui se nomme Lars Bollerup.
Concernant les "poursuites" judiciaires (soi-disant décrites
ici, c'est une situation qui arrive très souvent dans les fonds d'investissements. Des investisseurs mettent des fonds, les étoiles pleins les yeux, signent un certain nombre de clauses (nécessaires à la bonne gestion du fond et sa stabilité), mais certains veulent sortir leurs fonds au bout d'un certain temps, alors que le contrat les en empêche. C'est le
lock-in dont parle l'article. Dans ce cas de figure, les investisseurs attaquent souvent le fond en justice auprès de tribunaux d'arbitrages, pour récupérer leur fonds en passant outre le contrat signé.
Cela peut se comparer aux investisseurs d'ICOs qui crient SCAM partout quand ils ont changé d'avis après avoir investi, et que le projet refuse de les rembourser (car précisé dans les CGUs cochées avant l'investissement qu'aucun remboursement n'aura lieu).
L'identité de cette individu ("Mr J") est connue, mais je ne suis pas autorisé à la révéler publiquement.
Il s'agit probablement de la même personne qui rage dans les commentaires des articles de presse (sponsorisés ?), avec les mêmes arguments, en ne fournissant aucune preuve. C'est la même chose sur son site internet, beaucoup d'accusations, très peu de sources.