Article du 11/02/13 sur Les Echos Maros
http://www.leseco.ma/index.php?option=com_content&view=article&id=29645:lle-bitcoin-et-la-monnaie-traditionnelle-cohabiteront-ensemble-pendant-longtempsr&catid=7:business
Bon article, parle un peu trop du minage peut-être, mais soulève des points intéressants comme la possibilité de s'affranchir de la limite légale de paiement sur Internet au Maroc. Globalement un bon article.
Topic: Revue de presse bitcoin en français - page 154. (Read 2294448 times)
Article sur Bitcoin et Paymium dans le Journal du Net du 31 janvier 2013: "Paymium dévoile sa stratégie pour révolutionner le monde du paiement en ligne en s'appuyant sur le protocole Bitcoin".
Bitcoin dans le journal les Affaires:
http://www.lesaffaires.com/archives/generale/le-bitcoin-la-monnaie-virtuelle-qui-fait-des-adeptes/553239/
http://www.lesaffaires.com/archives/generale/le-bitcoin-la-monnaie-virtuelle-qui-fait-des-adeptes/553239/
Et cesse de parler de création monétaire "illimitée". Dis "abusive" ou "excessive" mais si tu dis "illimitée" comme ça t'es pas crédible. Il y a des limites.
Je te suggère d'ouvrir un autre sujet (c'est la revue de presse ici) car la création est bien illimitée : il n'y a qu'a voir la courbe de la masse monétaire en euros contrairement à celle des bitcoins.Le ratio d'endettement (Bâle etc) est une plaisanterie car le numérateur ET le dénominateur sont trafiqués par les banques. Le numérateur ne comprend pas toutes les dettes et le dénominateur comprend des dépôts à court terme qui seront retirés en cas de bank run.
La vérité, que les économistes orthodoxes ne veulent pas énoncer, c'est que la création quasi illimitée de monnaie centrale par l'émission de dettes (par les banques privées), provoque une augmentation des prix de l'immobilier et des actions (les actifs que les banques achètent avec la monnaie centrale créée ex nihilo) alors que les salaires et les prestations sociales croissent très lentement.
C'est quand même très caricatural, comme point de vue
Les banques n'achètent rien ou presque pour leur compte propre.Mais j'espère que t'as raison, ça fait cinq ans que j'attends que les banques centrales provoquent un rallie sur les marchés actions.
Tu es naïf là mai stricto sensu tu as raison: les banques ont des filiales immobilières qui achètent l'immobilier avec les prêts que leur font leur maison mère.
Je ne vois pas trop la différence à part un tour de passe passe comptable.
Quand au marché des actions, il ne se maintient (voire progresse en 2012) que grâce à la création monétaire illimitée: ce ne sont pas les actions qui montent c'est la monnaie qui ne vaut plus rien.
Sur les marchés, les plus gros intervenants sont les investisseurs institutionnels. Les banques (ou leurs filiales de placement et investissement) interviennent surtout en tant qu'intermédiaires (arbitrage, courtage, etc.). Certes, elles se font des tas de tunes au passage mais ça reste faible par rapport aux autres intervenants.
Et cesse de parler de création monétaire "illimitée". Dis "abusive" ou "excessive" mais si tu dis "illimitée" comme ça t'es pas crédible. Il y a des limites.
La vérité, que les économistes orthodoxes ne veulent pas énoncer, c'est que la création quasi illimitée de monnaie centrale par l'émission de dettes (par les banques privées), provoque une augmentation des prix de l'immobilier et des actions (les actifs que les banques achètent avec la monnaie centrale créée ex nihilo) alors que les salaires et les prestations sociales croissent très lentement.
C'est quand même très caricatural, comme point de vue
Les banques n'achètent rien ou presque pour leur compte propre.Mais j'espère que t'as raison, ça fait cinq ans que j'attends que les banques centrales provoquent un rallie sur les marchés actions.
Tu es naïf là mai stricto sensu tu as raison: les banques ont des filiales immobilières qui achètent l'immobilier avec les prêts que leur font leur maison mère.
Je ne vois pas trop la différence à part un tour de passe passe comptable.
Quand au marché des actions, il ne se maintient (voire progresse en 2012) que grâce à la création monétaire illimitée: ce ne sont pas les actions qui montent c'est la monnaie qui ne vaut plus rien.
Radio France International vient de mentionner Bitcoin dans notre bar à Berlin (à partir de 09:30) et j'ai pensé que ça pourrait être posté ici.
http://telechargement.rfi.fr.edgesuite.net/rfi/francais/audio/magazines/r155/accents_d_europe_20121227_1240.mp3
http://telechargement.rfi.fr.edgesuite.net/rfi/francais/audio/magazines/r155/accents_d_europe_20121227_1240.mp3
Très bon reportage que je peux faire écouter à des néophytes. Personnellement le caractère déflationniste de Bitcoin ne me gène pas du tout. C'est une de ses caractéristiques que j'aime le plus.
La vérité, que les économistes orthodoxes ne veulent pas énoncer, c'est que la création quasi illimitée de monnaie centrale par l'émission de dettes (par les banques privées), provoque une augmentation des prix de l'immobilier et des actions (les actifs que les banques achètent avec la monnaie centrale créée ex nihilo) alors que les salaires et les prestations sociales croissent très lentement.
C'est quand même très caricatural, comme point de vue
Les banques n'achètent rien ou presque pour leur compte propre.Mais j'espère que t'as raison, ça fait cinq ans que j'attends que les banques centrales provoquent un rallie sur les marchés actions.
Reportage assez neutre qui laisse la parole au propriétaire du bar en question et à d'autres enthousiastes. Mais il laisse surtout le dernier mot à un économiste qui ne manque pas de nous dire que bitcoin est condamné à échouer compte tenu de son caractère déflationiste.
Les économistes orthodoxes (comprenez, sponsorisés par les banques) ont du mal a admettre qu'une monnaie centrale peut coexister avec une monnaie complémentaire comme bitcoin: ça casse totalement leur propagande sur la monnaie unique.
Pourtant , je ne vois pas comment la baisse des prix en bitcoins pourrait déclencher une déflation de l'économie alors que les prix continueraient d'être affichés en euros.
La vérité, que les économistes orthodoxes ne veulent pas énoncer, c'est que la création quasi illimitée de monnaie centrale par l'émission de dettes (par les banques privées), provoque une augmentation des prix de l'immobilier et des actions (les actifs que les banques achètent avec la monnaie centrale créée ex nihilo) alors que les salaires et les prestations sociales croissent très lentement.
Pour eux, il est très important qu'il n'y ait pas de concurrence pour la monnaie centrale. Cette concurrence déclencherait en effet une prise de conscience collective que le système bancaire centralisé est largement détourné par une minorité de dirigeants à leurs propres profits.
Sorry my French is so bad I won't even try.
Radio France International has just featured Bitcoin at our bar in Berlin (from min. 09:30) and I thought this should be posted here:
http://www.rfi.fr/emission/20121227-accents-europe-27-decembre-2012
From my own little knowledge of French I believe it is rather positive, your comments as native speakers are welcom!
Best regards
Joe
Traduc:
« Désolé mon français est si mauvais que je n'essaierai même pas.
Radio France International vient de mentionner Bitcoin dans notre bar à Berlin (à partir de 09:30) et j'ai pensé que ça pourrait être posté ici.
http://telechargement.rfi.fr.edgesuite.net/rfi/francais/audio/magazines/r155/accents_d_europe_20121227_1240.mp3
D'après le peu de français que je connais ça m'a semblé plutôt positif, vos commentaires en tant que locuteurs natifs sont bienvenus.
Salutations,
Joe
»
La transcription de l'introduction du reportage:
« Et en ces temps de crise des initiatives alternatives se multiplient, à Berlin on peut payer en bitcoins dans certains Bar. Une monnaie virtuelle qui existe depuis 2009. Les médias ne donnaient pas cher de sa vie pourtant le bitcoin a de plus en plus de succès comme a pu le constater Déborah Berlioz dans la capitale allemande: »
Remarque personnelle:
Reportage assez neutre qui laisse la parole au propriétaire du bar en question et à d'autres enthousiastes. Mais il laisse surtout le dernier mot à un économiste qui ne manque pas de nous dire que bitcoin est condamné à échouer compte tenu de son caractère déflationiste.
Sorry my French is so bad I won't even try.
Radio France International has just featured Bitcoin at our bar in Berlin (from min. 09:30) and I thought this should be posted here:
http://www.rfi.fr/emission/20121227-accents-europe-27-decembre-2012
From my own little knowledge of French I believe it is rather positive, your comments as native speakers are welcom!
Best regards
Joe
Un article intéressant dans Le Parisien d'hier (édition du 92) sur Bitcoin et Paymium:
www.leparisien.fr/boulogne-billancourt-92100/il-veut-revolutionner-le-paiement-sur-internet
www.leparisien.fr/boulogne-billancourt-92100/il-veut-revolutionner-le-paiement-sur-internet
Le client ou je bosse est une grosse boite (fialiale de DDB). On reçoit régulierement des emails d'invitations à des conférences sur des themes variées, genre le developpement durable, l'entreprenariat solidaire,... des trucs bateaux et mainstream.
Et voici le mail du jour
Oui ils ne semblent pas avoir saisi ce que c'est. Mais ils le connaissent. Et ça c'est... intéressant
Et voici le mail du jour
Quote
"Quel sera le visage de ma banque en 2020 ?
Inscrivez-vous ici
Mardi 18 décembre
de 19h00 à 20h45
à La Mairie du 14ème arrondissement
(Salle des mariages)
2, place Ferdinand Brunot
75014 Paris
Métro : Mouton-Duvernet (ligne 4)
Station Vélib 14032
Contrairement à de nombreux domaines, notamment celui de la musique, la démocratisation des nouvelles technologies et les possibilités qu’elles offrent ne semblent pas avoir bouleversé la façon dont s’exerce le métier de banquier. Pour beaucoup, la banque reste encore un guichet, et l’unique point d’accès à un emprunt. Pourtant, certains avant-gardistes ont voulu s’emparer de la révolution numérique, la rendre compatible avec les activités bancaires afin de les réinventer. Des démarches d’autant plus réjouissantes à la vue du contexte économique actuel.
La dureté de la crise économique est telle qu’anticiper sur sa fin ne semble pas, aujourd’hui, à l’ordre du jour. Parmi les conséquences qu’elle emporte se trouve celui du frein à l’innovation sociale : de nombreux projets encourent le risque de ne jamais voir le jour, la faute au manque de liquidités. Face à cette situation, des solutions complémentaires émergent en France et dans le monde depuis peu. Chacune présente pour point commun la faculté de répondre à un besoin de financement, et tend à dessiner le visage de la banque de demain.
Qu’ils mobilisent les internautes dans l’apport de fonds (KissKissBankBank), facilitent l’attribution d’un prêt bancaire (SPEAR), ou proposent une nouvelle monnaie virtuelle à l’abri des fluctuations du marché mondial des devises (Bitcoin), ces nouveaux modèles permettent à des entrepreneurs de donner corps à leur projet. L’exemple de Maxime Leroy, initiateur de Collaborative Cities, témoigne de ces nouvelles tendances et surtout de leur efficacité.
Alors que sera présenté en Conseil des ministres le mercredi 19 décembre le projet de loi bancaire, visant à isoler les activités spéculatives, c’est l’avenir du secteur qui est en question : sommes-nous en train d’assister à la naissance d’un nouveau modèle financier 2.0 ? Aura-t-il vocation à remplacer l’existant ? Quel rôle les nouvelles technologies jouent-elles dans ce mouvement ? Le métier de banquier, tel que nous le connaissons, est-il amené à disparaître ? Enfin, quelle place serons-nous amenés à prendre dans ces nouveaux dispositifs ?
A l’occasion de leur 109 édition, les « Alter Mardis : Parlons solutions » vous invitent à dresser le portrait robot de la banque de demain. En compagnie de véritables avant-gardistes, nous vous attendons le mardi 18 décembre, à 19h00, à la Mairie du 14ème arrondissement
Vous ne pouvez pas vous déplacer ? Les AMPS viennent à vous en live ! Pour suivre le débat depuis chez vous,
rendez-vous le mardi 18 décembre à 19h15 sur www.altermardis.org/live.
Retrouvez les prochaines rencontres AMPS sur le site du Groupe SOS
Retrouvez les intervenants des AMPS en vidéos dans la rubrique dédiée sur le site du Groupe SOS.
Les « Alter mardis : parlons solutions », cycle de conférences du Groupe SOS, visent à contribuer au renouvellement des idées en portant des solutions concrètes, positives, et dont l’efficacité à été prouvée. Ils fédèrent, entre autres, entrepreneurs, responsables politiques, associatifs, universitaires et représentants de la société civile autour de dispositifs innovants. Ils se veulent être, en ce sens, la plateforme des acteurs du changement et de l'innovation sociale."
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Mardi 18 décembre
de 19h00 à 20h45
à La Mairie du 14ème arrondissement
(Salle des mariages)
2, place Ferdinand Brunot
75014 Paris
Métro : Mouton-Duvernet (ligne 4)
Station Vélib 14032
Contrairement à de nombreux domaines, notamment celui de la musique, la démocratisation des nouvelles technologies et les possibilités qu’elles offrent ne semblent pas avoir bouleversé la façon dont s’exerce le métier de banquier. Pour beaucoup, la banque reste encore un guichet, et l’unique point d’accès à un emprunt. Pourtant, certains avant-gardistes ont voulu s’emparer de la révolution numérique, la rendre compatible avec les activités bancaires afin de les réinventer. Des démarches d’autant plus réjouissantes à la vue du contexte économique actuel.
La dureté de la crise économique est telle qu’anticiper sur sa fin ne semble pas, aujourd’hui, à l’ordre du jour. Parmi les conséquences qu’elle emporte se trouve celui du frein à l’innovation sociale : de nombreux projets encourent le risque de ne jamais voir le jour, la faute au manque de liquidités. Face à cette situation, des solutions complémentaires émergent en France et dans le monde depuis peu. Chacune présente pour point commun la faculté de répondre à un besoin de financement, et tend à dessiner le visage de la banque de demain.
Qu’ils mobilisent les internautes dans l’apport de fonds (KissKissBankBank), facilitent l’attribution d’un prêt bancaire (SPEAR), ou proposent une nouvelle monnaie virtuelle à l’abri des fluctuations du marché mondial des devises (Bitcoin), ces nouveaux modèles permettent à des entrepreneurs de donner corps à leur projet. L’exemple de Maxime Leroy, initiateur de Collaborative Cities, témoigne de ces nouvelles tendances et surtout de leur efficacité.
Alors que sera présenté en Conseil des ministres le mercredi 19 décembre le projet de loi bancaire, visant à isoler les activités spéculatives, c’est l’avenir du secteur qui est en question : sommes-nous en train d’assister à la naissance d’un nouveau modèle financier 2.0 ? Aura-t-il vocation à remplacer l’existant ? Quel rôle les nouvelles technologies jouent-elles dans ce mouvement ? Le métier de banquier, tel que nous le connaissons, est-il amené à disparaître ? Enfin, quelle place serons-nous amenés à prendre dans ces nouveaux dispositifs ?
A l’occasion de leur 109 édition, les « Alter Mardis : Parlons solutions » vous invitent à dresser le portrait robot de la banque de demain. En compagnie de véritables avant-gardistes, nous vous attendons le mardi 18 décembre, à 19h00, à la Mairie du 14ème arrondissement
Vous ne pouvez pas vous déplacer ? Les AMPS viennent à vous en live ! Pour suivre le débat depuis chez vous,
rendez-vous le mardi 18 décembre à 19h15 sur www.altermardis.org/live.
Retrouvez les prochaines rencontres AMPS sur le site du Groupe SOS
Retrouvez les intervenants des AMPS en vidéos dans la rubrique dédiée sur le site du Groupe SOS.
Les « Alter mardis : parlons solutions », cycle de conférences du Groupe SOS, visent à contribuer au renouvellement des idées en portant des solutions concrètes, positives, et dont l’efficacité à été prouvée. Ils fédèrent, entre autres, entrepreneurs, responsables politiques, associatifs, universitaires et représentants de la société civile autour de dispositifs innovants. Ils se veulent être, en ce sens, la plateforme des acteurs du changement et de l'innovation sociale."
Oui ils ne semblent pas avoir saisi ce que c'est. Mais ils le connaissent. Et ça c'est... intéressant
Un article paru sur le journal en ligne http://www.largeur.com/?p=3798
Très bon article dans le supplément du Monde aujourd'hui. Une imprécision sur le nombre de transactions (30 000 par jour environ et non 200 000) mais le schéma est très bien fait.
L'article est vraiment pas clair pour les néophytes (a qui il s'adresse).Il ne parle que de paymium, ne dit pas comment avoir des bitcoins ni ou exactement les dépenser.
Il parle bcp de technique, sans être concis ni tres au point ( halving day dans le courant de l'année?? ahah )
Les commentaires parlent d'eux même, personne n'a rien pigé...
maintenant il est passé sur la premiere page de lemonde.fr ( j'ai fait un screen tellement j'étais surpris ) et il n'est pas rédigé sur un ton négatif au contraire.
Version avec les commentaires sur lemonde.fr:
http://www.lemonde.fr/sciences/article/2012/11/29/payer-et-vendre-sans-les-banques_1798066_1650684.html
qui a un compte lemonde.fr ?
Très bon article dans le supplément du Monde aujourd'hui. Une imprécision sur le nombre de transactions (30 000 par jour environ et non 200 000) mais le schéma est très bien fait.
« Et si BitCoin permettait de généraliser le porte-monnaie électronique ? C’est le pari ambitieux de Paymium et d’Aqoba, avec leur porte-monnaie Paytunia. Celui-ci n’utilise la monnaie virtuelle principalement que comme un protocole, pour véhiculer des transactions traditionnelles interopérables. »
Bigre, si vous parvenez à réaliser l'interopérabilité et ainsi faire en sorte que des commerçants acceptent bitcoin sans même le savoir, ce serait un vrai coup de maître. On pourrait pas rêver beaucoup mieux comme cheval de Troie. A moins bien sûr que vous fassiez la même chose avec une carte bancaire, car là ce serait le gros lot.
A lire dans Revue Banque: Bitcoin (Paytunia) au salon "Cartes" grâce à Paymium.
Un article en ligne dans Le Mag IT sur le salon Cartes 2012 à Villepinte où Paymium présentait une version "euro" de son application Paytunia: les prix sont affichés en euro mais la transaction passe par le réseau bitcoin !
Une brève mention de Paytunia à côté des poids lourds de la carte bancaire..
Une brève mention de Paytunia à côté des poids lourds de la carte bancaire..
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