D'autant que le certificat d'étude n'existe plus depuis belle lurette.
Au fait, pour être prof aujourd'hui, de la maternelle au lycée, il faut un bac + 5
Je confirme, mon ex était prof.
Une licence BAC+3 (à la fac) puis le concours raté une fois +2 ans et la formation/stage +1 an.
Elle avait fait une double licence à la fac complètement inutile et inintéressante puisqu'elle était incapable de me citer une seule chose qu'elle avait appris, incapable de commenter un seul des centaines de livre qu'on l'avait poussé à lire. Ce n'était pas la seule puisque tous ses amis c'est pareil.
Le concours et l’École de formation n'ont juste aucun rapport avec le métier. Les enseignants n'ont jamais mit les pieds de leur vie dans une école (ou alors il y a environ 1 demi siècle). On leur bourre le crane de choses qui vont au mieux être inutile, au pire les handicaper face à des armés de petits cons et de parents d'élève psychopathe.
Le concours élimine des potentiellement très bon profs pour ne sélectionner que ceux qui peuvent se payer plusieurs années à rater le concours ou assez stupides pour s'endetter à vie auprès des banques privés (ce que mon ex avait fait pour un montant hallucinant et je n'ai pu l'en empêcher étant moi aussi naïf et stupide à l'époque).
Inutile de préciser qu'une bonne partie des profs abandonne les premières années (c'est toujours mieux que de se suicider ou de sombrer dans l'addiction aux anti-dépresseurs).
Coût de l'opération :
60 000 € en Impôts pour les Français.
15 000 - 25 000 € de dette (heureusement que mon ex a eu le concours et qu'elle n'a pas abandonné)
Qui y gagne ?
Les bourgeois qui peuvent étudier ce qu'ils veulent et réussir en redoublant le nombre d'année qu'il faut. Le tout payé par les pauvres au travers de la TVA.
Les banques privés qui transforment les étudiants en esclave et les soumettent au système avant même d'entrer sur le marché du travail.
Le statu quo est préservé, les bourgeois ont du travail grâce à leur diplôme de papier qui légitime leur appartenance à la caste des gens qui piétine la face des sans-dents (d'où le manque de dents). Quand à eux, les pauvres échouent lamentablement au prix d'années perdu, de dettes énormes et d'un profond dégoût d'eux même d'avoir raté des études soit disant gratuite (haha) dans un système censé promouvoir l’ascension des sans dents dans les classes aisés (trololo).