En prenant du recul, je ne suis pas certain que Ethereum ait apporté quelque chose au monde des cryptos (puisque leur seule action pour le moment est de prouver qu'il n'y a rien d'autonome et de décentralisé dans les smarts contracts), par contre Ethereum aura fait un mal terrible à ce monde des cryptos.
Je ne suis pas d'accord. Ça reste eux qui ont amener le concept des smart-contrats, et ce dernier point est celui qui à créé le + d'enthousiasme sur le potentiel des blockchain. Il y a eu une grosse erreur avec The Dao et ils ont su réagir. Ça soulève plein d’interrogation sur le côté décentralisé de Ethereum mais au final je trouve que c'est un bel exemple de consensus des utilisateurs. Le problème a été expliqué à la communauté et les utilisateur ont votés.
C'est une technologie toute récente encore et Ethereum malgré sa croissance extrêmement rapide est encore tout neuf. C'est normal qu'il y ai des couacs. C'est en faisant des erreurs qu'on apprend et grandit + vite.
Ethereum reste pour moi le projet le plus intéressant autour de la blockchain.
Quand au consensus, il semblerait que moins de 10% des détenteurs de Ethereum se soient exprimés sur la décision du fork, donc non, c'est un exemple de totalitarisme qui veux faire croire au consensus : quand on se cache derrière un droit de vote et que par ailleur on se satisfait de 10% des suffrages exprimés, on est très loin de la démocratie.
Personnellement, je ne lui demande pas de grandir plus vite : ne pas faire miroiter (ou promettre) ce qu'il n'est pas capable de tenir suffirait.
dixit zukerberg, bill gates, steve jobs, larry page, elon musk, je sais pas ou m'arreter ?
D'autre part tu te ments à toi-même en comparents tous ces entrepreneurs à Vitalik : eux ont tous fait des études supérieures, parfois brillantes (ce qui ne veux pas dire que j'apprécie toutes les personnes citées : il y en a dont la principale performances a été de s'entourer de gens compétents et/ou fortunés, quand ce n'est pas tout simplement d'avoir volé aux vrais inventeurs leur bébé).
Il faut se méfier des médias qui nous créent des légendes à tour de bras : l'histoire, rie n'est mieux que de la vivre.