Topic: La dictature parfaite - page 3. (Read 204338 times)

arrete je vais pleurer.

Je préfère voter pour ceux qui sont censurés : http://www.dailymotion.com/video/x5ckfp4

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PENDANT CE TEMPS, LES EMPRUNTS TOXIQUES CONTINUENT A RONGER LA FRANCE


du 27 février au 2 mars 2017 :

 Le journal Le Point se félicite du fait que le "cauchemar se termine pour 578 collectivités locales prises dans le piège des emprunts toxiques. Mais le coût du sauvetage sera élevé: 5,5 milliards aux frais des contribuables !"

Entre 2004 et 2008, le journal explique (avec 8 ans de retard sur cette Revue de Presse) que "plus de 850 collectivités locales ont souscrit des emprunts qui se sont avérés être des emprunts toxiques". Donc, pour stopper cette bombe atomique financière qui faisait tic-tac dans les comptes des diverses villes, régions, etc., le gouvernement avait trouvé une astuce géniale: transformer ces prêts à taux variables en taux fixes ET DONNER LES GAINS PERDUS PAR LES BANQUES PRIVEES VIA LE PEUPLE FRANCAIS REUNI. Ni vi, ni connu, et tout le monde est content, et les banques privées ne feront pas de procès à la France, l'empêchant ainsi d'emprunter encore plus sur les marchés financiers...

Si, si... C'est beau. On privatise les gains et nationalise les pertes pour le plus grand plaisir des banquiers.

Lisez bien car le Diable se cache dans les détails: "La collectivité doit payer une indemnité de remboursement anticipé (IRA) due au titre de ces emprunts. Cette pénalité est égale à la valeur actuelle de la perte de revenus du fait de la renégociation et peut représenter un montant très important et même pratiquement équivalent à celui du capital emprunté.
dette francaise

Par exemple, dans le cas de la métropole grenobloise sur des emprunts d'un montant de 58,3 millions d'euros, l'IRA s'élevait à 42,9 millions d'euros (auxquels se sont ajoutés 29,7 millions d'intérêts). C'est ici qu'intervient le fonds de soutien créé par la loi de finances de 2014 en versant une aide financière à la collectivité, allégeant d'autant le coût associé à leur remboursement anticipé. Cette aide bienvenue est naturellement payée in fine par le contribuable."

Comprenez par là ce sont 5 milliards de nos impôts qui n'iront pas dans les écoles, les services, la police, les douanes, les hôpitaux, etc., etc. ELLE N'EST PAS BELLE L'ARNAQUE DES BANQUES AVEC LA COMPLICITE DES POLITIQUES ??

On se croirait dans le livre d'Eloïse Benhamou Kléptocratie Française !!! Lire ici le Point pour le croire, merci à Frédéric et aux autres lecteurs. Revue de Presse par Pierre Jovanovic 2008-2016

mare de la planche a billet et des dettes souveraines illégitimes? votez Mac rond !

encore si c'etait pour faire des truc bien..mais plus ça va plus la société se dégrade..routes..logements..ecoles..administrations..d'une manière générale les biens public..on se demande vraiment ou vont les impots ?

Michel Sapin, le ministre de l’Economie et des Finances, a présenté mardi 17 janvier un exercice 2016 qui lui parait satisfaisant voire plus.

Ainsi le déficit de l’Etat sera de 3,3% pour 2016 ce qui provoque l’enthousiasme des dirigeants politiques de Bercy.

Au plan technique, rappelons – une fois encore – que tout est affaire de conventions comptables et de grille de lecture corrélative. 3,3% du PIB cela revient à 68,9 milliards d’euros de déficit soit 21,6% des recettes de l’Etat au sens large (320 milliards).

En clair, on engrange 5 euros de dépenses pour 4 de recettes.

Vivement qu'on leur coupe leur planche à billets à ces gouvernements et à ces "institutions non-élues".

Pitruzzella, head of the Italian competition body since 2011, said "EU countries should set up independent bodies — co-ordinated by Brussels and modeled on the system of antitrust agencies — which could quickly label fake news, remove it from circulation and impose fines if necessary."

In other words, a series of unelected bureaucrats, unaccountable to anyone, would sit down and between themselves decide what is and what isn't "fake news", and then, drumroll, "remove it from circulation.

Des investissements facilités par une fiscalité avantageuse mise en place en 2008 par Nicolas Sarkozy : l’Etat du Qatar et ses entités publiques – y compris la famille de l’émir – sont exonérés d’impôt sur les plus-values de tous les investissements immobilers réalisés dans l’hexagone.

L’argent frais apporté par le Qatar est vu d’un bon œil à droite comme à gauche, François Hollande ayant poursuivi la politique de son prédécesseur vis-à-vis de l’émirat.

« Malgré cette culpabilité, la CJR a estimé que la « personnalité » de la patronne du FMI et sa « réputation internationale », ainsi que le fait qu’elle bataillait à l’époque contre une « crise financière », plaidaient en sa faveur et justifiaient de la dispenser de peine »…

Ben comme la dame était occupée par d’autres dossiers super importants, elle n’a pas vu quand il a fallu signer le chèque.

souvenez-vous que les réseaux sociaux sont des entreprises ... et c'est bien cela le problème.