Topic: Pourquoi la situation économique va droit dans le mur avant 2017 - page 30. (Read 239810 times)

Without these tremendous increases in exports to China, these states would be in far worse shape than they already are. When this devaluation is complete, the companies in these states will be 10% less competitive. Their exports will decline. When exports decline, companies fire workers.

Get ready. The fireworks are just beginning. Fourth Turnings sure are entertaining.

Les artisans, les commerçants et les médecins ... pourraient reprendre la gouvernance nationale : https://www.youtube.com/embed/GG5DbjWvKjk

Will there be a financial collapse in the United States before the end of 2015? 

An increasing number of respected financial experts are now warning that we are right on the verge of another great economic crisis.  Of course that doesn’t mean that it will happen.  Experts have been wrong before. 

But without a doubt, red flags are popping up all over the place and things are lining up in textbook fashion for a new financial crisis.

Mais les planificateurs de Washington pourraient bien avoir une autre crise en tête : la débâcle économique et sociale de l’Union Européenne.

Dans ce cas, l’armée américaine serait déployée pour servir d’appui à des gouvernements fragiles et discrédités, menacés par des bouleversements sociaux généralisés. Ces gouvernements « intérimaires » pourraient être composés des personnels politiques déjà au pouvoir aujourd’hui dans les capitales européennes.

La pénurie croissante de collatéral de qualité en contrepartie de la masse de liquidité en circulation induit une ruée sur les titres de capital. Comme le prix réel d’un titre de capital est par nature flottant et fluctuant par rapport au prix nominal et par rapport aux perspectives réelles vérifiables de l’entreprise sous-jacente, la spéculation sur les actions est ce qui reste de moins dangereux à court terme quand l’effondrement général s’approche manifestement. Les gros gestionnaires financiers ont même intérêt à faire le maximum de publicité sur l’euphorie boursière de manière à attirer les épargnants institutionnels moyens et petits.

Dès que le retour des petits à la bourse aura atteint son maximum supposé, les gros retourneront tous leurs positions acheteuses pour laisser les pertes aux petits et limiter les leurs.

Comme il est absolument certain que le prochain krach se résoudra par la mise en faillite de un ou plusieurs gros, il faut grossir le plus vite possible avec le minimum d’actifs pourris par rapport aux autres de manière à maximiser ses chances de survie.

Le hic est que la faillite de Lehman a été difficile et longue à digérer. Le lissage comptable des pertes a été laborieux entre tous les grands acteurs publics et privés du marché.

Il est très peu probable que le système monétaire et financier résiste à la faillite de Citybank, BNP Paribas, Allianz, l’État grec ou la Banque Centrale de Suisse…

Les prochains, c'est nous : http://www.lecontrarien.com/la-dette-publique-de-la-france-a-augmente-de-516-milliards-deuros-au-premier-trimestre-03-07-2015-france



  Biiiitcoiiiiin ! Viiiiiiite !

Les prochains, c'est nous : http://www.lecontrarien.com/la-dette-publique-de-la-france-a-augmente-de-516-milliards-deuros-au-premier-trimestre-03-07-2015-france



  Biiiitcoiiiiin ! Viiiiiiite !

Alors à toutes celles et ceux qui n’ont pas encore compris ou qui ne veulent pas comprendre, crachez tant que vous le pouvez sur ces abrutis de Grecs qui sont des voleurs et qui ne savent pas gérer leur pays, parce que dans moins de 5 ans, compte tenu de la rapidité de l’envolée de notre endettement et du fait qu’il ne soit plus du tout sous contrôle le tout dans un contexte de taux ultrabas, je peux vous affirmer sans me tromper que demain nous serons les nouveaux Grecs des Allemands qui vous expliqueront doctement à quel point les Français sont des veaux.

Cette « solution » si elle était retenue aurait l’avantage de protéger du regard trop curieux de l’employeur, mais offrirait en revanche une nouvelle mission (logiquement régalienne) aux banques, ce qui accentuerait encore un peu plus leur pouvoir. Pouvoir déjà démesuré. Or, en échange de cette nouvelle tâche, les établissements bancaires réclameraient probablement « une juste compensation » à l’État ou à leurs clients…