1) dommage qu'on ne puisse pas lire l'article en entier et surtout ca conclusion ?
Est ce que ca fatigue les chirurgiens payes 150 000 euros par an de porter un masque ou non ?
Peut etre que c'est "fatiguant" .... mais bon, ils n'ont qu'a faire un autre taff si les opérations sont trop fatigantes avec un masque.
2) porter un masque est il utile ?
C'est de la malhonnete de remettre en question (surtout avec la source que tu met) que les masques portes par les chirugiens on un effet benefique sur le risque de retablissement sans infections du patient dans le cas d'une operation.
Apres, porter un masque pour limiter le covid ? encore une fois, si quelqu'un avec covid tousse dans son masque lorsque tu le croise dans la rue, tu peux bien imaginer que tu te choppe moins de postillions que sans masque.
On met bien la main devans sa bouche quand on tousse de maniere generale.
Sinon, chez nous en NZ il y a un journaliste de 83 ans qui est mort du covid.
Alors a 80 ans, vous me direz que c'est presque normal. (...)
1. Ce que je veux dire c'est que ça fait bien longtemps qu'on sait que porter un masque n'est pas anodin, alors le porter toute la journée, surtout quand on est un enfant en pleine croissance ?
2. Tu mélanges un peu tout, je suppose que c'est de ma faute sans doute. C'est vrai parfois je condense ma pensée et à l'écrit ça peut prêter à confusion.
Pour l'exemple du chirurgien, il n'y a pas plus que le 1 (dans ce que je voulais dire)
Ensuite je te serais reconnaissante de me donner des sources qui prouvent qu'un masque, d'après l'expression consacrée "en population générale" soit efficace en extérieur, voire même en intérieur. Il est évident que si tu te chopes les glaviots de ton voisin, c'est pas très sain, alors je précise un masque est-il utile sur en extérieur/intérieur sur des gens pas malades ? C'est-à-dire qu'on vivait avant sans masque et qu'on évitait astucieusement de se faire postillonner dessus et c'est d'ailleurs pour ça qu'on préconise des distances entre les gens (les fameux gestes barrière, expression à la con quand même mais suffisamment explicite pour expliquer un truc de base : si tu as chopé un truc, rhume, gastro, covid tu évites de rouler des pelles à ton voisin ou ta voisine et mieux encore tu restes chez toi, c'est ce qu'on faisait avant qu'on soit infantilisé en permanence).
Si on est à un mètre de quelqu'un pas malade sans masque, c'est dangereux ?
Ensuite ce serait vraiment extrêmement aimable de ne pas me prendre pour une souillon stupide, on apprend dès le plus jeune âge à se laver les mains et on peut même en profiter pour désinfecter de temps en temps son téléphone, clavier etc ... Ce n'est pas la question. (Donc on peut se demander pourquoi une telle politique vaccinale aux Antilles quand on sait que le réseau d'eau potable n'a pas été rénové depuis des lustres et que personne n'en à rien à faire visiblement, privant ainsi une partie de la population de la base en matière d'hygiène)
Quant-à tes exemples, chacun peut en donner des tonnes, des vrais, des faux, des gens vaccinés/pas vaccinés malades ou non, morts ou non, ce n'est pas très intéressant en fait car les médias sont très très peu crédibles, d'ailleurs au début c'était "tous vaccinés, tous protégés", ensuite "la vaccination évite les covids longs" et maintenant "la vaccination évite réa et décès" donc bientôt comme pour moderna "le vaccin ne sera sans doute pas efficace contre le nouveau variant" (enfin je crois qu'il a dit un truc comme ça le président de moderna, sauf erreur) ce qui compte c'est la politique sanitaire globale qui ne prend pas en compte les dommages collatéraux de cette vaccination : effets indésirables, dommages psychologiques, dommages économiques etc etc etc... tout en constatant que rien ne change vraiment : masques, doses à la chaîne, malades vaccinés etc etc etc
Il y a quelques semaines, je me suis fait vacciner contre la grippe. Je fais ça depuis une dizaine d'années. Pourtant j'ai déjà eu la grippe plusieurs fois dans ma vie et je n'ai jamais frolé la mort. Pourquoi me faire vacciner alors ? Tout simplement pour éviter d'être malade comme un chien pendant une semaine. Pour moi, c'est une raison suffisante pour me faire vacciner.
Et j'ai la même attitude avec le covid.
Mais c'est très bien Patrickus. Tu fais en fonction de tes convictions et en fonction de ta santé. Cela dit être malade pendant une semaine ce n'est pas non plus un drame et booster ses défenses naturelles peut aussi être une bonne chose, comme ne pas prendre d'antibiotiques systématiquement.
Donc si toi perso tu penses que c'est bon pour toi et que moi je pense que ce n'est pas bon pour moi, on est d'accord alors ? Néanmoins les campagnes de vaccination contre la grippe et contre le covid ne sont pas du tout les mêmes.
La formule du vaccin contre la grippe doit changer chaque année, à cause des différents mutations d'après ce que j'ai compris. Donc malgré tout ça reste un coup de poker et la formule 2016-2017 n'a pas très bien fonctionné par exemple, bon en lisant d'autres articles, il semblerait que la formule 2014-2015 non plus (
https://www.santemagazine.fr/actualites/grippe-le-vaccin-2016-2017-est-il-efficace-186612)
Et dans le cas de la grippe, toute la population n'est pas vaccinée, il y a des gens "éligibles" qui reçoivent un courrier de la CPAM. Les femmes enceintes en sont exclues.
https://www.mesvaccins.net/web/news/9679-lancement-de-la-campagne-de-vaccination-contre-la-grippe-2016-2017-objectifs-et-modalites-pratiques. (tout est bien expliqué dans cet article)
On ne vaccinait pas les femmes enceintes dans le temps. (source vidal quand même)
https://www.vidal.fr/actualites/22192-vaccination-contre-la-grippe-2017-2018-en-pratique.htmlA noter le début de l'expérimentation de l'administration du vaccin par les pharmaciens dans 2 régions, l'Auvergne-Rhône-Alpe et la Nouvelle Aquitaine (notre article du 12 mai 2017) : les pharmaciens volontaires, autorisés par le directeur de l'Agence Régionale de Santé pourront vacciner les assurés adultes pour lesquels le vaccin est gratuit et qui ont déjà été vaccinés au cours des 3 dernières années (à l'exception des femmes enceintes).
En ce qui concerne la surmortalité grippale 2016-2017, voilà ce qu'on peut lire sur le site de l'ordre des pharmaciens :
Selon les régions, cette surmortalité est supérieure de 13 à 30 % à celle observée lors de la grippe 2015-2016. Au 31 décembre 2016, la couverture vaccinale des personnes à risque était estimée à 46 %, soit un point de moins qu’il y a un an.
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C'est bizarre les chiffres, on peut en faire ce qu'on veut, c'est dommage, on ne sait pas vraiment dans quelle catégorie a eu lieu la surmortalité, mais en tout cas on sait seulement qu'il n'y avait que 1% de vaccinés en moins par rapport à l'année précédente. C'est vraiment trop peu comme données, il doit y en avoir d'autres.
Donc en résumé on apprend plein de trucs passionnants sur les précédentes vagues grippales sur le web, les mutations, les personnes éligibles aux vaccins, les risques de décès, l'efficacité etc etc etc...
Le mieux est donc, en fonction de sa propre santé, d'en parler avec son médecin. (Même si le fait d'avoir fait vacciner mes deux enfants contre le papillomavirus il y a plusieurs mois, à ma demande, avec un vaccin qui a été retiré de la commercialisation me fout les boules)
Campagne grippe 2021-2022, cette fois les femmes enceintes peuvent se faire vacciner, les progrès de la science :
https://www.santemagazine.fr/traitement/medicaments/vaccins/vaccin-contre-la-grippe-comment-ca-marche-vaccin-grippe-2021-2022-pour-qui-quand-effets-secondaires-170946Fréquente, presque banale, la grippe est considérée comme une maladie peu dangereuse, ce qui est le plus souvent le cas, notamment chez les personnes jeunes et en bonne santé. Mais certaines personnes dites à risque, sont plus susceptibles de développer des complications. Ce sont elles que les recommandations de vaccination antigrippale ciblent. Les personnes vivement incitées à se faire vacciner et pour lesquelles le vaccin est pris en charge à 100% sont :
Les personnes de plus de 65 ans,
les personnes (dont les enfants dès l'âge de 6 mois) souffrant de maladies chroniques (insuffisance respiratoire ou cardiaque, BPCO, asthme, diabète, mucoviscidose…),
les patients ayant une diminution de l’immunité,
les femmes enceintes, quel que soit le trimestre de la grossesse (se faire vacciner contre la grippe pendant la grossesse donne aussi une protection au nouveau-né pendant une durée de trois à six mois),
les personnes obèses,
l'entourage des nourrissons de moins de 6 mois à risque de grippe grave et des personnes immuno-déprimées,
les professionnels de santé,
les personnes dont le travail les met en contact avec des personnes à risque de forme grave de la grippe : personnes travaillant dans les avions, mais aussi depuis cette année personnels des services de secours et d’incendie, personnels des services d’aide à domicile, et les aides à domicile via CESU (particuliers employeurs) pour les personnes âgées ou les personnes à risque de grippe sévère.