@superresistant
Les sages d'entre les Anciens avaient pour coutume de prendre la nature comme modèle, et de là, ils ont pu tirer un grand nombre de préceptes moraux.
Les francs-maçons, ennemis invétérés de la morale, ont déconstruit cette recherche de la vérité en la reléguant au statut de concept désuet ; ils s'ouvrent ainsi la voie aux idées folles et contre nature telles la théorie du genre, qui veut que l'homme ne soit plus homme et que la femme ne soit plus femme.
Je précise juste que les différences biologiques n'expliquent en aucun cas les genres.
hé bien soyons au moins d'accord sur le fait que nous ne sommes pas d'accord.
Je me demande bien qu'elle serait votre explication culturelle et spirituelle au transsexualisme car c'est un fait : il existe plus que deux sexes biologiques mais seulement deux genres.
La notion de « sexe anatomique » ne correspond pas nécessairement à la notion de sexe chromosomique. L'identité sexuelle était jusqu'à présent définie par la présence de chromosomes XX ou XY, mais l'existence de personnes de sexe masculin et de caryotype XX ou de sexe féminin et de caryotype XY est connue.Il est intéressant de constater que toutes les sociétés n'ont pas eu la même approche.
En Occident :
Durant l'époque moderne, les transsexuels ne sont plus définis comme des hommes ou des femmes possédant en réalité une âme féminine ou masculine, mais bien d'hommes ou de femmes existant dans un corps de femme ou d'homme. Les transsexuels n'essaient pas de changer de genre, mais seulement de sexe. Selon cette approche, le transsexualisme peut donc être défini comme une discordance entre l'identité de genre et l'identité de sexe ressentie d'un individu.
Dans d'autres cultures :
Dans l'Histoire, toutes les sociétés n'ont pas réagi de la même manière. Un certain nombre de groupes, dont les Indiens d'Amérique du Nord, ont
des sociétés avec trois ou même quatre genres qui leur permettent, entre autres, d'intégrer les personnes homosexuelles, transgenres et transsexuelles. D'autre part, des formes primitives d'opération de réattribution de sexe ont été pratiquées depuis l'Antiquité. Des groupes comme les Hijra du sous-continent indien continuent à pratiquer l'émasculation pour des raisons religieuses.