Topic: Où sont les femmes ? - page 6. (Read 6956 times)
Tu n'étais pas obligé d'exposer la tête de mon ex-femme ici.
Je viens d'effectuer une recherche google concernant l'accélération d'une transaction Btc via la fonction Replace by fee (rbf).
Google m'a retourné une réponse ... inattendue
Bon je pose ça ici un peu par provoc' et parce que ce ça concerne les femmes... that's all
Google m'a retourné une réponse ... inattendue
Bon je pose ça ici un peu par provoc' et parce que ce ça concerne les femmes... that's all
Le coût de la virilité de Lucile PEYTAVIN.
l'auteur peytavin n'est pas assez pointue dans ses analyses.
...
tout ce travail de connaissance de la violence n'est pas fait par peytavin, ses conclusions ne peuvent être que fausses.
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tout ce travail de connaissance de la violence n'est pas fait par peytavin, ses conclusions ne peuvent être que fausses.
une critique de la pensée de la peytavin :
https://www.youtube.com/watch?v=O45COLnTUVU
vidéo de 26 minutes, ça commence à 2'43" et ça se laisse écouter en vitesse 1,5 soit un quart d'heure.
J'imagine que c'est ce qu'essaie de faire les magistrats quand ils voient ses jeunes au tribunal.
"leurs" jeunes plutôt ?
ce n'est pas parce qu'un juge a le pouvoir de le faire qu'il doit passer l'éponge sur les méfaits de ses enfants...
Tu as raison je voulais écrire ces jeunes, toutes mes confuses. Et GrosWesh aussi a raison. J'ai honte.
[...] (et c'est le plus souvent les mères qui s'y collent)[...]
Oui et
Rien d'anormal sachant que c'est le rôle d'une femme depuis toujours. Après si cette phrase insinue un père totalement absent, alors ce n'est pas de la faute du père, mais belle et bien de la mère qui fut dans l'incapacité intellectuelle de choisir un homme bien pour subvenir à ses besoins et celui de ses enfants.je répondais à quelqu'un mais tu n'as pas lu. Ce n'est pas grave, on te connait à la fin. Et c'est sûr les mères sont toujours coupables de tout, la tienne aussi.
J'imagine que c'est ce qu'essaie de faire les magistrats quand ils voient ses jeunes au tribunal.
Tu t'es fais hacker ton compte ou tu commences à être aussi mauvaise que nous en orthographe ?
[...] (et c'est le plus souvent les mères qui s'y collent)[...]
Oui et
Rien d'anormal sachant que c'est le rôle d'une femme depuis toujours. Après si cette phrase insinue un père totalement absent, alors ce n'est pas de la faute du père, mais belle et bien de la mère qui fut dans l'incapacité intellectuelle de choisir un homme bien pour subvenir à ses besoins et celui de ses enfants. J'imagine que c'est ce qu'essaie de faire les magistrats quand ils voient ses jeunes au tribunal.
"leurs" jeunes plutôt ?
ce n'est pas parce qu'un juge a le pouvoir de le faire qu'il doit passer l'éponge sur les méfaits de ses enfants...
Plus sérieusement, aux Etats unis au minimum, il y a eu quelques études sociologiques des facteurs de délinquance. De tête je me souviens de famille monoparentale (père absent->risque de délinquance accru) & CSP (les pauvres agressent plus que les riches )
Non mais pas besoin d'être un expert pour comprendre que c'est plus difficile d'élever des enfants dans une famille monoparentale (et c'est le plus souvent les mères qui s'y collent), il faut super bien s'organiser pour allier travail/famille surtout quand les enfants sont petits. Les familles monoparentales sont souvent plus pauvres et c'est la pauvreté qui peut entraîner de la délinquance (quand le parent travaille, et s'il n'a pas de solution pour surveiller les enfants ben ils sont livrés à eux-mêmes tout simplement, alors si en plus le quartier est un peu chaud et que quelqu'un vient proposer au gamin de faire le guet pour quelques billets ou autre mission rémunératrice ...), quand on n'est pas dans la nécessité, dans la misère, le désespoir et qu'on vit dans un quartier « correct » au minimum et bien il y a moins de chance qu'on essaie des drogues et la drogue entraînant des besoins d'argent, mais aussi l'envie de bien se saper etc etc etc... Entre voir son parent se tuer au travail pour un petit salaire et trouver des alternatives moins légales mais plus rémunératrices, chacun fait son choix, peut-être qu'on peut essayer de comprendre ses choix ? J'imagine que c'est ce qu'essaie de faire les magistrats quand ils voient ses jeunes au tribunal.
C'est l'injustice qui fabrique des révoltés.
Mais les plus riches ne sont pas en reste en voulant toujours plus, c'est la délinquance en col blanc avec fraude fiscale, impunité grâce aux copains etc etc etc ... Et c'est ainsi que le manque de partage des richesses creuse le trou entre les riches et les pauvres.
Les femmes russes sont indéniablement les plus belles
Et pour répondre au le ton.. Poll du topic, "un Policier" 
.. aux Etats unis au minimum, il ya eu quelques études sociologiques des facteurs de délinquance. De tête je me souviens de famille monoparentale (père absent->risque de délinquance accru) & CSP (les pauvres agressent plus que les riches )
Un peu le truc de Jean Valjean 
Pour dire aussi que pour lutter contre la (criminalité), il faut le faire/y aller d'un pas contre toutes ses formes,, autrement c'est de "la manipulation".
C'est assez~ relatif, si tu chaparde pour subsister, celà fait-il de toi.. ou est-ce vraiment un acte (criminel) ?? En vérité il en découlerait plus de problèmes(nettement plus grave) si tu te resignais, toujours, à crever de faim! Et toujours si tu vire à la délinquance,, soyons sérieux aussi les filcs avec leurs indiques/sources en font/causent plus (grave)!
cela rappelle des heures sombre de l'histoire...
serais tu de gauche ? sinon, pourquoi reprends tu leur phraséologie ?
l'auteur peytavin n'est pas assez pointue dans ses analyses.
ce n'est pas parce que 90 % ou plus de telle ou telle violence sont commises par des hommes que 90 % des hommes commettent ces violence, tout le monde en conviendra. en réalité, c'est une toute petite minorité des hommes qui commettent ces violences, quelques pourcents, pas plus. il n'y a donc aucune justification à vouloir punir tous les hommes, à vouloir exercer sur eux des violences psychologiques pour qu'ils se comportent comme des femmes.
pourtant, il faut effectivement résoudre les problèmes de violence, détecter et mettre hors d'état de nuire les quelques dizaines ou centaines de milliers d'hommes violents. il faut cibler les coupables et laisser les autres tranquilles. il faut donc s'interroger sur d'où vient la violence, de quels types d'hommes vient la violence et agir à ce niveau là plus particulièrement, ce que ne fait absolument pas l'auteur peytavin.
je propose quelques pistes de réflexion qu'il conviendrait d'examiner, toutes ne sont peut être pas pertinentes, on ne le saurait qu'après examen, mais encore faut il les étudier :
- taille et corpulence : un homme grand et fort aura t'il tendance à abuser de sa force ou au contraire étant sûr de sa force il reste paisible en toute circonstance car personne n'ose l'agresser ?
- type de véhicule conduit s'agissant des accidents de la route, je fais confiance aux assurances pour bien connaître le sujet et en réalité pour dévoiler que l'accidentologie est plus affaire d'ancienneté dans le permis de conduire et alcoolémie plutôt que cylindrée ou nombre de chevaux du moteur.
- couleur des cheveux ou couleur des yeux.
- religion du violent : un mahométan en moyenne est il plus violent ou non qu'un chrétien, qu'un athée, qu'un bouddhiste ?...
- nationalité, origine du violent : les étrangers, les français de fraiche date, les français d'ancienne ascendance sont ils tous également violent ?
je ne sais pas si tu es ironique ou sérieux: type de cheveux couleur de yeux, cela rappelle des heures sombre de l'histoire... au mieux tu vas détecter une corrélation qui n'est pas causalité.ce n'est pas parce que 90 % ou plus de telle ou telle violence sont commises par des hommes que 90 % des hommes commettent ces violence, tout le monde en conviendra. en réalité, c'est une toute petite minorité des hommes qui commettent ces violences, quelques pourcents, pas plus. il n'y a donc aucune justification à vouloir punir tous les hommes, à vouloir exercer sur eux des violences psychologiques pour qu'ils se comportent comme des femmes.
pourtant, il faut effectivement résoudre les problèmes de violence, détecter et mettre hors d'état de nuire les quelques dizaines ou centaines de milliers d'hommes violents. il faut cibler les coupables et laisser les autres tranquilles. il faut donc s'interroger sur d'où vient la violence, de quels types d'hommes vient la violence et agir à ce niveau là plus particulièrement, ce que ne fait absolument pas l'auteur peytavin.
je propose quelques pistes de réflexion qu'il conviendrait d'examiner, toutes ne sont peut être pas pertinentes, on ne le saurait qu'après examen, mais encore faut il les étudier :
- taille et corpulence : un homme grand et fort aura t'il tendance à abuser de sa force ou au contraire étant sûr de sa force il reste paisible en toute circonstance car personne n'ose l'agresser ?
- type de véhicule conduit s'agissant des accidents de la route, je fais confiance aux assurances pour bien connaître le sujet et en réalité pour dévoiler que l'accidentologie est plus affaire d'ancienneté dans le permis de conduire et alcoolémie plutôt que cylindrée ou nombre de chevaux du moteur.
- couleur des cheveux ou couleur des yeux.
- religion du violent : un mahométan en moyenne est il plus violent ou non qu'un chrétien, qu'un athée, qu'un bouddhiste ?...
- nationalité, origine du violent : les étrangers, les français de fraiche date, les français d'ancienne ascendance sont ils tous également violent ?
exemple classique: 80% des gens meurent dans le leur lit, est ce qu'il faut éviter d'y dormir dorénavant ? Non il ya des variables intermédiaires tel que la maladie etc
Plu sérieusement, aux Etats unis au minimum, il ya eu quelques études sociologiques des facteurs de délinquance. De tête je me souviens de famille monoparentale (père absent->risque de délinquance accru) & CSP (les pauvres agressent plus que les riches )
Alors oui, sauf que non. Tu es une femme, donc naturellement tu es manipulatrice, toutefois n'est pas manipulatrice toutes celles qui le veulent. Il faut le physique et l'intellect.
Donc je ne peux pas être une manipulatrice. Voilà belle démonstration, juste, précise et logique.
Mais j'ajouterais que les gens comme moi, laids et stupides, ont le mérite de mettre davantage en avant les gens comme toi, beaux et intelligents. Donc on a une utilité quand même.
Tu es une femme, donc naturellement tu es manipulatrice, ..
Naturellement, c'est un conditionnement de milliers d'années, voir depuis l'aube de l'humanité. Les femmes devant tout le temps influer cloîtrées de derrière les murs de leurs cuisines! Pour revenir à ces histoires de violences, c'est quoi déjà cette affaire homicide par le mari qui se faisait carrément massacrer de toutes les manières h24 ?
(Celle qui se fait incinérer en allant faire son jogging!)
[...] Lucile Peytavin, historienne et membre du Laboratoire de l’égalité, s’interroge sur les raisons de cette surreprésentation des hommes comme principaux auteurs des violences et des comportements à risque[...]
Incroyable stupide, je n'ai pas fait des études dans ce domaine et pourtant quelques livres mon suffit de comprendre le comment du pourquoi...
De la même manière pour ta remarque :
[...]Etonnant de voir que toi et Patrickus aient des avis totalement opposés sur mes relations avec les hommes[...]
Alors oui, sauf que non. Tu es une femme, donc naturellement tu es manipulatrice, toutefois n'est pas manipulatrice toutes celles qui le veulent. Il faut le physique et l'intellect, avec cela les femmes sont capables de manipuler un homme au point qu'il en meurt pour elle, voir dans certain cas l'utiliser comme un bras armé pour commettre un homicide en son nom.
Dans ma jeunesse c'est un sujet qui ma passionné, car les femmes sont passionnantes par leur complexité.
Voir des féministes écervelées prendre de plus en plus de place dans la société, c'est, franchement inquiétant.
l'auteur peytavin n'est pas assez pointue dans ses analyses.
ce n'est pas parce que 90 % ou plus de telle ou telle violence sont commises par des hommes que 90 % des hommes commettent ces violence, tout le monde en conviendra. en réalité, c'est une toute petite minorité des hommes qui commettent ces violences, quelques pourcents, pas plus. il n'y a donc aucune justification à vouloir punir tous les hommes, à vouloir exercer sur eux des violences psychologiques pour qu'ils se comportent comme des femmes.
pourtant, il faut effectivement résoudre les problèmes de violence, détecter et mettre hors d'état de nuire les quelques dizaines ou centaines de milliers d'hommes violents. il faut cibler les coupables et laisser les autres tranquilles. il faut donc s'interroger sur d'où vient la violence, de quels types d'hommes vient la violence et agir à ce niveau là plus particulièrement, ce que ne fait absolument pas l'auteur peytavin.
je propose quelques pistes de réflexion qu'il conviendrait d'examiner, toutes ne sont peut être pas pertinentes, on ne le saurait qu'après examen, mais encore faut il les étudier :
- taille et corpulence : un homme grand et fort aura t'il tendance à abuser de sa force ou au contraire étant sûr de sa force il reste paisible en toute circonstance car personne n'ose l'agresser ?
- type de véhicule conduit s'agissant des accidents de la route, je fais confiance aux assurances pour bien connaître le sujet et en réalité pour dévoiler que l'accidentologie est plus affaire d'ancienneté dans le permis de conduire et alcoolémie plutôt que cylindrée ou nombre de chevaux du moteur.
- couleur des cheveux ou couleur des yeux.
- religion du violent : un mahométan en moyenne est il plus violent ou non qu'un chrétien, qu'un athée, qu'un bouddhiste ?...
- nationalité, origine du violent : les étrangers, les français de fraiche date, les français d'ancienne ascendance sont ils tous également violent ?
tout ce travail de connaissance de la violence n'est pas fait par peytavin, ses conclusions ne peuvent être que fausses.
ce n'est pas parce que 90 % ou plus de telle ou telle violence sont commises par des hommes que 90 % des hommes commettent ces violence, tout le monde en conviendra. en réalité, c'est une toute petite minorité des hommes qui commettent ces violences, quelques pourcents, pas plus. il n'y a donc aucune justification à vouloir punir tous les hommes, à vouloir exercer sur eux des violences psychologiques pour qu'ils se comportent comme des femmes.
pourtant, il faut effectivement résoudre les problèmes de violence, détecter et mettre hors d'état de nuire les quelques dizaines ou centaines de milliers d'hommes violents. il faut cibler les coupables et laisser les autres tranquilles. il faut donc s'interroger sur d'où vient la violence, de quels types d'hommes vient la violence et agir à ce niveau là plus particulièrement, ce que ne fait absolument pas l'auteur peytavin.
je propose quelques pistes de réflexion qu'il conviendrait d'examiner, toutes ne sont peut être pas pertinentes, on ne le saurait qu'après examen, mais encore faut il les étudier :
- taille et corpulence : un homme grand et fort aura t'il tendance à abuser de sa force ou au contraire étant sûr de sa force il reste paisible en toute circonstance car personne n'ose l'agresser ?
- type de véhicule conduit s'agissant des accidents de la route, je fais confiance aux assurances pour bien connaître le sujet et en réalité pour dévoiler que l'accidentologie est plus affaire d'ancienneté dans le permis de conduire et alcoolémie plutôt que cylindrée ou nombre de chevaux du moteur.
- couleur des cheveux ou couleur des yeux.
- religion du violent : un mahométan en moyenne est il plus violent ou non qu'un chrétien, qu'un athée, qu'un bouddhiste ?...
- nationalité, origine du violent : les étrangers, les français de fraiche date, les français d'ancienne ascendance sont ils tous également violent ?
tout ce travail de connaissance de la violence n'est pas fait par peytavin, ses conclusions ne peuvent être que fausses.
Le coût de la virilité de Lucile PEYTAVIN.
Bisous à tous et bonne journée
Le catéchisme féministe... Dis toi bien que si tu peux venir dans ce forum pour écrire ce genre de sottises, c'est parce qu'un jour un homme a baisé ta mère.Quote
En France, les hommes sont responsables de l’écrasante majorité des comportements asociaux :
ils représentent 84 % des auteurs d’accidents de la route mortels, 92 % des élèves sanctionnés pour des actes relevant d’atteinte aux biens et aux personnes au collège, 90% des personnes condamnées par la justice, 86 % des mis en cause pour meurtre, 97 % des auteurs de violences sexuelles, etc.
La liste semble inépuisable. Elle a surtout un coût. Un coût direct pour l’État, qui dépense chaque année des milliards d’euros en services de police, judiciaires, médicaux et éducatifs pour y faire face. Et un coût indirect pour la société, qui doit répondre aux souffrances physiques et psychologiques des victimes, et subit des pertes de productivité et des destructions de biens. Pourtant, cette réalité est presque toujours passée sous silence. Lucile Peytavin, historienne et membre du Laboratoire de l’égalité, s’interroge sur les raisons de cette surreprésentation des hommes comme principaux auteurs des violences et des comportements à risque, et tente d’estimer le coût financier de l’ensemble de ces préjudices pour l’État et donc pour chaque citoyen.ne. Quel est le coût, en France, en 2020, des conséquences de la virilité érigée en idéologie culturelle dominante ? L’autrice nous pose la question : n’aurions-nous pas tous intérêt à nous comporter… comme les femmes ?!
ils représentent 84 % des auteurs d’accidents de la route mortels, 92 % des élèves sanctionnés pour des actes relevant d’atteinte aux biens et aux personnes au collège, 90% des personnes condamnées par la justice, 86 % des mis en cause pour meurtre, 97 % des auteurs de violences sexuelles, etc.
La liste semble inépuisable. Elle a surtout un coût. Un coût direct pour l’État, qui dépense chaque année des milliards d’euros en services de police, judiciaires, médicaux et éducatifs pour y faire face. Et un coût indirect pour la société, qui doit répondre aux souffrances physiques et psychologiques des victimes, et subit des pertes de productivité et des destructions de biens. Pourtant, cette réalité est presque toujours passée sous silence. Lucile Peytavin, historienne et membre du Laboratoire de l’égalité, s’interroge sur les raisons de cette surreprésentation des hommes comme principaux auteurs des violences et des comportements à risque, et tente d’estimer le coût financier de l’ensemble de ces préjudices pour l’État et donc pour chaque citoyen.ne. Quel est le coût, en France, en 2020, des conséquences de la virilité érigée en idéologie culturelle dominante ? L’autrice nous pose la question : n’aurions-nous pas tous intérêt à nous comporter… comme les femmes ?!
Bisous à tous et bonne journée
Et le jour où la guerre fera son retour tu seras la première à déplorer le manque d'hommes virils prêts à se battre.
Le coût de la virilité de Lucile PEYTAVIN.
Bisous à tous et bonne journée
Quote
En France, les hommes sont responsables de l’écrasante majorité des comportements asociaux :
ils représentent 84 % des auteurs d’accidents de la route mortels, 92 % des élèves sanctionnés pour des actes relevant d’atteinte aux biens et aux personnes au collège, 90% des personnes condamnées par la justice, 86 % des mis en cause pour meurtre, 97 % des auteurs de violences sexuelles, etc.
La liste semble inépuisable. Elle a surtout un coût. Un coût direct pour l’État, qui dépense chaque année des milliards d’euros en services de police, judiciaires, médicaux et éducatifs pour y faire face. Et un coût indirect pour la société, qui doit répondre aux souffrances physiques et psychologiques des victimes, et subit des pertes de productivité et des destructions de biens. Pourtant, cette réalité est presque toujours passée sous silence. Lucile Peytavin, historienne et membre du Laboratoire de l’égalité, s’interroge sur les raisons de cette surreprésentation des hommes comme principaux auteurs des violences et des comportements à risque, et tente d’estimer le coût financier de l’ensemble de ces préjudices pour l’État et donc pour chaque citoyen.ne. Quel est le coût, en France, en 2020, des conséquences de la virilité érigée en idéologie culturelle dominante ? L’autrice nous pose la question : n’aurions-nous pas tous intérêt à nous comporter… comme les femmes ?!
ils représentent 84 % des auteurs d’accidents de la route mortels, 92 % des élèves sanctionnés pour des actes relevant d’atteinte aux biens et aux personnes au collège, 90% des personnes condamnées par la justice, 86 % des mis en cause pour meurtre, 97 % des auteurs de violences sexuelles, etc.
La liste semble inépuisable. Elle a surtout un coût. Un coût direct pour l’État, qui dépense chaque année des milliards d’euros en services de police, judiciaires, médicaux et éducatifs pour y faire face. Et un coût indirect pour la société, qui doit répondre aux souffrances physiques et psychologiques des victimes, et subit des pertes de productivité et des destructions de biens. Pourtant, cette réalité est presque toujours passée sous silence. Lucile Peytavin, historienne et membre du Laboratoire de l’égalité, s’interroge sur les raisons de cette surreprésentation des hommes comme principaux auteurs des violences et des comportements à risque, et tente d’estimer le coût financier de l’ensemble de ces préjudices pour l’État et donc pour chaque citoyen.ne. Quel est le coût, en France, en 2020, des conséquences de la virilité érigée en idéologie culturelle dominante ? L’autrice nous pose la question : n’aurions-nous pas tous intérêt à nous comporter… comme les femmes ?!
Bisous à tous et bonne journée
Attention le gros nuage gris ! 
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