Donc tu accuses les flics de faire une sorte de collaboration avec l'État pour crever des yeux
Complot du jour, bonjour.
Évidemment que c'est faux, en aucun cas nos dirigent sont aussi bêtes pour prendre un tel risque si jamais ce genre d'info' venait à être découvert...
Ok, donc tu troll et tu ne sais pas lire... Enfin, tu refuses.
Les flics porteur de LBD tirent 5 balles dans une séance d'exercice tous les 3 ans, donc bon...
Ils ont eu le temps de s'entrainer du coup.
Plus de 9.000 tirs de LBD depuis le début du mouvement.
Tu peux voir ici qu'ils savent viser (aucune raison, mais ça c'est devenu tellement habituel qu'on s'en tape, pas vrai ?) :
https://youtu.be/62ORmgAVaLc
Évidemment que c'est faux, en aucun cas nos dirigent sont aussi bêtes pour prendre un tel risque si jamais ce genre d'info' venait à être découvert...
Tu avais pourtant, là aussi, la réponse sous le nez :
« Vous savez, ces blessures laissent des séquelles à vie. Nous sommes une sorte d’association des gueules cassées par armes de la police », explique un membre du collectif [Désarmons-les](
www.desarmons.net). « Avant 2018 on avait 2 ou 3 personnes mutilées par ans. En 2018, avant les gilets jaunes, on était plutôt autour de 5. Depuis novembre, les chiffres explosent », poursuit-il.
L’usage des LBD est autorisé par le responsable hiérarchique, qui tient ses directives du préfet, qui les tient lui même du ministère, indique un policier. « C’est la plupart du temps oral et nous savons très bien que celui qui sera poursuivi, c’est le policier auteur des tirs, pas l’Etat », conclue-t-il.Mais comme la plupart des policiers auteurs des tirs sont en civil, sans signe distinctif permettant de les identifier, les procédures ont peu de chances d’aboutir... Pratique.