Principalement par choix politique souverain, le populisme de gauche l'ayant emporté début des années 2000 (Kirchnerism filiation du Peronism 2003-2015) pour finir sur un contrôle stricte de la monnaie (2011-2015) rendant le pesos non échangeable contre d'autres devises. Il perd -80% durant cette période. Le vrai visage du refus du capitalisme et la fermeture au marché: une prison pour le peuple argentin.
Après un retour d'optimise suite à l'élection d'un centre-droite (première dans l'histoire) en 2015, qui rétablit la convertibilité du pesos au passage. La crise étant cependant trop grave à renverser en 1 candidature, les populistes qui se nourrissent de la crise sont en passe de revenir au pouvoir (premier tour largement gagnant). Ce qui fut une surprise et a créé l'un des plus gros crash en 1 jour connu des marchés lundi passé. Les cassandres rouges étant bien trop séduisantes, le peuple a une nouvelle fois succombé et en payera encore surement les pots cassés (le comble). Il faut plus d'ouverture et moins de fermeture au monde !
C'est en effet triste et douloureux d'assister impuissant une nouvelle fois à cette faillite à venir et tellement prévisible.
Le malheur de l'Argentine, avoir rencontré Peron et le populisme de gauche sur sa route.
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