Oui idem, d'ailleurs j'ai laissé un message dans ce sens ici même il y a quelques jours. Mais Becassine m'a appris ça à moi aussi, j'ai cherché sur gougle et suis tombé sur un article de ... Marie Claire ! Haha
Allez je met le lien, ça reste dans l'esprit du thread
https://www.marieclaire.fr/histoire-informatique-femmes,1291836.asp"Ce n'est pas tant que les femmes n'y sont plus allées, mais que les hommes s'y sont engouffrés. Leur arrivée massive s'est produite car le recrutement était dirigé vers eux. L'informatique devenait un milieu avec un emploi assuré, la promesse d'une carrière et d'un avenir. Or,
ce sont les hommes qui devaient avoir une belle carrière."
"On a alors demandé aux informaticiennes de les former, puis ils sont devenus leurs chefs et on les a virées elles à la première crise venue – un phénomène qui a été étudié notamment en Grande-Bretagne."
Sympa
Elle parle de 30 à 40% des informaticiens, ce qui n'est pas une majorité, et qui n'est pas hyper choquant, même si ça represente 2 à 3 fois plus de femmes qu'aujourd'hui d'après ses chiffres.
Mais pour une telle discipline, à cette époque, on a de bons chiffres, tournant entre 30% et 40% de salariées.
Bon sinon, je vois qu'elle accuse les hommes d'exclurent les femmes, mais ça n'a pas l'air de beaucoup la choquer lorsque c'est l'inverse.
Ils ont aussi créé un safe space, un endroit non mixte où elles pouvaient travailler mais qui est plutôt devenu un lieu de vie.
J'adore le terme... "safe space" les mecs de cette école sont vraiment pas susceptibles pour tolérer un truc pareil... ils ont pensé aux cages de zoos sinon? Ca serait plus sûr amha
Et pour finir, on y échappe pas, après le sexisme, le racisme...
Ils se sont aussi rendu compte que les filles, les élèves noirs ou défavorisés avaient tendance à décrocher une fois à l'école. En fait, les cours nécessitaient des pré-requis implicites, qu'avaient surtout les garçons blancs.
Elle a dû être traumatisée par le film Les Figures de l'ombre c'est pas possible autrement...